Puteaux 2014

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Le maire de Puteaux Joëlle Ceccaldi-Raynaud est victime une fois de plus de la malveillance de son père Charles. Elle fait les frais d'une dénonciation calomnieuse relayée comme il se doit par le "Canard Enchaîné"  et autre "Parisien" eux même relayés par leur confrère et conseillé municipal d'opposition Christophe Grébert. Contrainte de réagir à ces nouveaux coups bas elle envoie à l'AFP un communiqué de presse pour faire part de son indignation.

J’ai pris connaissance de l’article publié dans l’édition du « Canard Enchaîné » de ce jour.
 

Sur la forme, je ne peux que m’indigner d’une violation aussi manifeste du secret de l’instruction et j’ai chargé mon avocat d’y donner les suites judiciaires qui s’imposent, l’origine de cette divulgation laissant peu de doute.
 

Sur le fond, j’entends rappeler que le Juge d’instruction, saisi du dossier depuis plusieurs années, a souhaité m’entendre sur des accusations portées par mon père à mon encontre depuis sa mise en examen.

Convoquée le 1er août en qualité de témoin assisté, j’ai été longuement entendue par le Juge d’instruction qui a estimé qu’aucun fait ne pouvait m’être reproché.

C’est la raison pour laquelle je n’ai pas été mise en examen, et que le Juge d’instruction a notifié à l’ensemble des parties la fin de l’instruction.

J’ai demandé à mon conseil de déposer une plainte en dénonciation calomnieuse.

Sur le fond et pour conclure, les faits évoqués dans l’article  ont été largement expliqués au Juge d’instruction qui n’a pas remis en cause leur caractère purement privé et non délictuel.

Dans cette affaire qui m’est étrangère, je ne puis que regretter le déballage médiatique d’une relation familiale traumatisante pour mes enfants et moi-même, qui me conduit à réfléchir sérieusement à la mise en place d’une mesure judiciaire de protection.

Source 

Le statut d'élu municipal impose de choisir tout de même soigneusement ses mots, sous peine de réduire ses propos à une note au vitriol.

Sylvie Cancelloni / 23 juin 2008 à 09:49

Deux ans après son lancement en juillet 2007 à Paris, le Vélib' arrive à Puteaux: depuis le 30 juin dernier, 3 stations sont ouvertes dans la ville et proposent un peu plus de 150 bicyclettes. Joëlle Ceccaldi-Raynaud, le Député-Maire de Puteaux, entourée de plusieurs représentants de la majorité avait donc donné rendez-vous aux putéoliens le 4 juillet dernier pour l'inauguration du Vélib à Puteaux. Jean-Claude Decaux, accompagné de son fils, a participé activement au lancement du Vélib' au milieu d'une cinquantaine de nos concitoyens venus tout spécialement pour tester la célèbre bicyclette grise. Le parcours effectué au départ de la station Soljénitsyne à emmené les participants dans les rues du bas de Puteaux en passant par les stations du boulevard Richard Wallace et de la rue Jean Jaurès.

Contrairement à ce que l'on pouvait attendre, Bruno Lelièvre, membre des Verts et représentant écologiste au sein du groupe d'opposition "Alternance Puteaux" n'était pas présent pour saluer comme il se doit l'événement.

Cela confirme donc le sentiment, déjà bien encré dans l'esprit de nombreux putéolien, de dévaluation du vote écologiste et met de nouveau à jour le seul objectif du trio Lelièvre, Grébert, Cancelloni : Une opposition systèmatique à la majorité emmenée par Joëlle Ceccaldi-Raynaud même si sa politique environnementale est saluée par tous.

Pitoyable opposition, pitoyable personnages.

Photo : flickr 

De jeunes grincheux s’époumonent dans les bureaux de vote dimanche dernier pour masquer la gifle, la baffe, la déculottée, la branlée, la ratatouille, le 21 avril du PS comme du Modem.

C’est le cas de Francis, jeune militant du PS. Ce dernier a couru comme Le...lièvre ( je sais elle est facile celle-là ) dans tout Puteaux pour chasser des irrégularités fantasmées dans le déroulement du scrutin dans 3 bureaux de vote où l’ambiance est toujours bon enfant et amicale. Francis a voulu jouer au grain de sable mais cela n’a pas enrayé la débâcle de son parti. Bonjour Tristesse : encore un 21 avril ! Dépassé en Ile de France par les Verts cette fois-ci.

La différence dans le trio infernal PS-Vert-Modem, c’est qu’au Modem et chez les Verts, ils ont affiché la couleur. Pas de honte, même après les propos déplacés de François Bayrou, jeudi dernier sur le plateau de France 2. Pas de réaction de la part Christophe Grébert, si prompt à l’ouvrir d’habitude, sauf à s’attribuer la percée des Verts en tartinant de pommade Bruno Lelièvre qui soit dit en passant n'a jamais milité pour Europe écologie et qui se targue à postériori d'une belle victoire (enfin entre eux parce que dans la réalité tout ce beau monde est loin... loin dérrière l'UMP). A quand le changement de casaque  Christophe? On se pose la question et les paris sont ouverts. Pour ma part avec les potes on pense que tu vas virer au vert dans moins de six mois. On a même poser la questions à des Modem locaux, ils sont d'accord et espèrent même que ce soit moins long pour que tu leur débarrasse le plancher toi et Soeur Sylvie et qu'ils récupèrent un semblant de crédibilité. Surtout qu'ils ont fort peu gouté tes propos d'après la raclée... mais si... rapelle toi... quand tu te permet de les traiter d'amateurs, que tu critique la campagne du Modem local alors même que tu l'a ridiculisée avec tes méthodes.

Mais je m'éloigne du sujet là, revenons en à nos moutons. Pour le PS, on avait donc du mal à trouver leurs bulletins au milieu des innombrables listes folkloriques qui fleurissent à chaque élection européenne. On aurait pu croire que le PS avait oublié de les envoyer sans la vigilance de militants jeunes et dévoués comme le gars Francis.

Mais pour Francis, la débâcle, ça s’explique par la disparition des bulletins de vote du PS sur la  table des bureaux de vote. C’est pas de chance vraiment si la direction de campagne du PS avait tout simplement souhaité les rendre invisibles et transparents, le jour du scrutin. Les grands communicants de la rue Solférino proposaient des bulletins nuls, blancs, sans aucune couleur (adieu le rose, puisque que le PS est devenu gris), deux petits logos en bas de page, et le gros mot « socialistes » en petit, petit, petit… L’UMP affichait son bleu d’apparat pour mettre son message en avant, les écolos Cohn-Bendit, un vert Géant Vert, les Démocrates pour l’Europe, un orange de feu du tonnerre, le front de gauche, un rouge vif et saignant à point.

Face à la débâcle, le gars Francis du PS et ceux qui ont fait encore moins bien au niveau national, c’est-à-dire les fanfarons du Modem qui n’ont pas fait de campagne de terrain malgré leurs séances « clic-clac photos, c’est dans la boîte » (pas dans les urnes), réécrivent de nouveau une belle histoire pour masquer leur absence de programme, leur incapacité à se rénover. Si jeune, et déjà si vieux... Les défaites rendent vraiment les gens aigris. Ils voient des méchants partout, croient que tout le monde leur en veut… Le syndrome Calimero reprend de la vigueur.